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GERARD CASAMAJOU
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26 décembre 2011

POURQUOI EN EST ON ARRIVE LA ?

Repenser la politique.
Le citoyen français n’est plus syndiqué, le citoyen français ne se rend plus aux urnes.
La classe politique dans son ensemble plutôt que de s’en inquiéter commente les résultats électoraux à la participation dérisoire comme autant de victoire.
A croire que…le plus important…est d’être élu !
Oui les français se désintéressent, non pas de la politique mais de la façon dont elle est menée.
Affaires en tous genres, locales, nationales, intérêts particuliers, passes droits…une poignée d’individus, davantage intéressé par leur confort que par le bien commun, dévalorise ce qui devrait s’apparenter à un sacerdoce.
La « gauche », face à la finance, abandonne une partie de ses valeurs, elle se « mondialise », elle renonce à l’impossible…elle se « droitise » !
Alors la « droite » classique pour ne pas être en reste, afin de se démarquer fait de la surenchère, se « droitise » un peu plus…jusqu’à se rapprocher des thèses du front national.
Et le citoyen, qui ne s’y retrouve plus, reste à la maison, ne milite plus ou bien pire encore va se tourner vers le parti qui n’a jamais gouverné et dont on reprend les thèmes : « à la copie, préférons l’original ».
C’est comme cela qu’en marginisant au lieu de contredire, en interdisant au lieu de convaincre, en copiant au lieu d’innover on pousse le citoyen à « essayer » autre chose.
C’est comme cela qu’immanquablement surgissent les extrêmes.
De toute manière tout cela n’a que très peu d’importance puisque il est ancré à présent dans l’inconscient des gens que rien ne changera !
Ont-ils tort ?
Quel espoir nous apporte l’alternance ?
Depuis le temps, au fil des promesses, ou chaque changement est sensé nous apporter un mieux …on devrait depuis longtemps avoir atteint la félicité !
Mais il en est rien car de tous temps l’homme, pour être « heureux », a toujours voulu hélas posséder davantage que son voisin. On est pourtant toujours le pauvre de quelqu’un !
Pourtant créer de la richesse, oui, posséder toujours plus, pourquoi pas…à condition cependant que chacun possède assez !
Ou alors cela n’a qu’un temps… ce temps est en train de changer.
Vite réglons le problème de l’égalité des chances, et surtout celui de l’équité.
Accordons nous sur les buts, recherchons les moyens, regroupons les compétences, reprenons confiance en nos élus : Repensons la politique.
Gérard CASAMAJOU 

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